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En lien avec la levée progressive des restrictions sanitaires, les TPE-PME anticipent un net rebond du chiffre d’affaires pour cette année (solde d’opinion à +24 après -48 en novembre 2020). Les perspectives d’embauche suivent la même tendance haussière: l’indicateur relatif aux perspectives d’embauche se redresse à +19 à la mi-2021 et regagne ainsi son niveau d’avant-crise. Les perspectives sont les mieux orientées dans l’Industrie, alors que les dirigeants de PME du Tourisme restent logiquement les plus pessimistes.
Malgré l’impact significatif de la crise sur l’activité des TPE-PME l’année dernière, 63 % d’entre elles jugent leur trésorerie suffisante après mobilisation des dispositifs de soutien (contre 57 % en avril 2021 et 49 % il y a un an). Cette proportion est la plus importante dans le Commerce et l’Industrie (72 % et 66 %). Seules 1 % des dirigeants jugent insurmontables les difficultés de trésorerie rencontrées, une proportion en baisse. Cette part atteint 3 % dans le Tourisme et les Transports.
Parmi les TPE-PME ayant souscrit à un PGE, 57 % déclarent en avoir utilisé une minorité (24 %) voire ne l’avoir pas du tout dépensé (33 %). Près de 2/3 des TPE-PME ayant bénéficié de ce dispositif envisage un amortissement de la totalité du prêt sur plusieurs années. 4 % des chefs d’entreprise sondés craignent de ne pas être en mesure de le rembourser, une proportion plus faible qu’en février (8%).
Les entreprises révisent sensiblement à la hausse leurs projets d’investissement pour l’année 2021. L’indicateur relatif à l’évolution des montants investis se redresse nettement, de +30 points sur un an pour s’établir à +4, et dépasse son niveau de mai 2019. Plus d’une TPE-PME de l’Industrie sur deux (58 %) déclarent avoir investi ou prévoient de le faire cette année, soit la proportion la plus importante parmi les grands secteurs d’activité. Ces investissements seraient en partie tournés vers la transformation numérique: 56 % des dirigeants souhaitent accélérer ou maintenir cette stratégie en sortie de crise (+3 points par rapport à novembre 2020).
Si 37 % des TPE-PME ont déjà retrouvé, voire dépassé le niveau d’activité de fin 2019, 10 % déclarent compter sur un retour à une activité « normale » d’ici fin 2021 et 28 % d’ici fin 2022. Au total, 74 % des TPE-PME auraient retrouvé leur niveau d’activité d’avant crise en 2022. 10 % envisagent en revanche un retour à une activité normale plus tardif et 15 % sont dans l’incertitude. Dans le sillage de l’activité attendue dynamique en 2022, les dirigeants se montrent confiants quant à leur capacité à embaucher cette même année.
Pour 2021, le chiffre d'affaires des PME est attendu en net rebond pour l'ensemble des secteurs, à l'exception de celui du tourisme qui anticipe une contraction de 11% de son chiffre d'affaires
Les entreprises de l'ensemble des régions anticipent une croissance positive de leur chiffre d'affaires allant de 1 à 5 %. Fortes de leur optimisme, près des trois quarts des PME auraient retrouvé leur niveau d'activité d'avant-crise
Retrouvez la version anglaise de notre enquête pour l'édition de juillet 2021 : Half-way through 2021, SMEs’ confidence is growing in all sectors of the economy
Retrouvez la série longue de données pour notre enquête de conjoncture de juillet 2021
Retrouvez ici l'ensemble des précédentes publications semestrielles "Enquête de conjoncture PME", réalisées par Bpifrance Le Lab
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L’instabilité politique freine l’investissement : 2 PME sur 3 reportent ou annulent leurs projets face aux incertitudes gouvernementales.
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L’économie française tourne au ralenti cette année, et les Entreprises de Taille Intermédiaire ne font pas exception. Voici 6 enseignements clés de la nouvelle enquête de conjoncture signée Bpifrance Le Lab.
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Les tensions diplomatiques entre le gouvernement américain et l’Amérique latine1, en particulier s’agissant des questions migratoires, sont source d’inquiétude pour la zone et ne font qu’approfondir la méfiance de nombre de leaders latino-américains vis-à-vis de la nouvelle politique américaine. Ces tensions et l’incertitude qu’elles engendrent pourraient pousser certains pays de la région à se tourner vers d’autres partenaires. La Chine pourrait dès lors en profiter pour étendre encore son influence dans la région et l’Union européenne, renforcer les liens commerciaux existants, et accéder à des ressources minières stratégiques.
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