Nos thématiques
Nos contenus pratiques
Qui sommes-nous ?
Confrontées à des contraintes de production persistantes et un tassement de la demande, les TPE et PME prévoient un net ralentissement de leur activité en 2023 mais l’emploi serait plus résilient.
Les ETI s’inquiètent d’une perte de compétitivité et anticipent un ralentissement de l’activité cette année. Elles continuent néanmoins d’embaucher et d’investir pour leur transition énergétique.
Dans un contexte de hause des prix de l’énergie, les entreprises ont dans l’ensemble réduit leurs émissions de gaz à effet de serre. Une part de cette baisse pourrait être durable, les chefs d’entreprises mettant en œuvre des stratégies pérennes en faveur de la transition écologique et énergétique.
Interrogées chaque trimestre à l’occasion du baromètre en partenariat avec Rexecode, les entreprises se montrent résilientes, malgré l’inflation.
Bien que 6e exportateur mondial en 2022, la France accuse un déficit commercial persistant depuis deux décennies (-2,4 % du PIB en moyenne entre 2004 et 20211). En 20 ans, les parts de marché à l’export se sont réduites, reflétant en partie l’intensification des investissements à l'étranger.
L’année 2023 sera marquée par un ralentissement global de l’activité économique. Selon le FMI, la croissance du PIB mondial passerait de +3,4 % en 2022 à +2,8 % en 2023. L’inflation élevée et ses conséquences sur les taux d’intérêt renforcent les vulnérabilités : risque de croissance, risque externe, risque sur les comptes publics.
En 2023, sur fond de hausse des salaires et des prix de l’énergie, les chefs d’entreprise s’attendent à une dégradation moyenne de leur marge de 3,8 %.
Ralentissement de la dynamique d’investissement, dégradation de la trésorerie. Dans un contexte d’incertitude, les dirigeants de TPE-PME pessimistes en 2023.
6 dirigeants sur 10 ont augmenté ou prévoient d’augmenter les salaires et les prix en 2022. Focus sur les problématiques énergétiques et de coûts des chefs d’entreprises à la rentrée.