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La proportion de dirigeants souhaitant augmenter le salaire de leurs collaborateurs est en hausse. Une tendance qui se vérifie chez 79 % des PME comptant au moins 10 salariés ; l’objectif étant de fidéliser les salariés (70 %) tout en préservant leur pouvoir d’achat (62 %).
Selon 80% des dirigeants, la hausse des prix de l’énergie a un impact sur leur activité. Face aux difficultés d’approvisionnement, les dirigeants font preuve d’anticipation en augmentant leurs prix. Les évolutions des prix semblent donc être corrélées par ces tensions d’approvisionnement.
60 % des dirigeants de PME / TPE citent les difficultés de recrutement comme principale source de préoccupation (un chiffre en hausse puisqu’ils étaient 56 % à citer ce frein à la croissance en mai dernier). Autre inquiétude majeure, celles des coûts et des prix trop élevés, qui arrivent en seconde position (cités par 41% des dirigeants, soit 2 points de plus qu’au trimestre dernier). Si les difficultés d’approvisionnement se font toujours sentir, la part des dirigeants de PME / TPE qui considère qu’elles se sont accrues recule nettement (−27 points, soit 44 %). L’heure n’est pas à l’optimisme pour autant pour 42% des dirigeants, qui s’attendent à ce que ces difficultés se poursuivent dans les 12 prochains mois.
Conséquence d’une géopolitique incertaine et de tensions sur les prix de l’énergie, 29 % des chefs de PME / TPE estiment que leurs investissements seront en baisse cette année (26 % les estiment à la hausse). Sans surprise, le renouvellement et la modernisation des équipements restent les principales dépenses d’investissement potentielles. Les dirigeants, conscients de l’urgence climatique, ont davantage investi pour l’environnement ce trimestre (+8 points), notamment pour le recyclage ou afin de réaliser des économies d’énergie. Ils sont près de 40 % à avoir connaissance d’alternatives aux énergies fossiles pour le fonctionnement de leur activité.
Les hausses de coûts (matières premières, énergie) subies par les dirigeants de PME / TPE ont une nouvelle fois pesé sur la trésorerie de leur entreprise. Seuls 11% des dirigeants ont constaté une amélioration de leur trésorerie. Ces difficultés devraient se répéter au trimestre prochain puisque l’indicateur relatif à l’évolution de la trésorerie future perd 4 points et passe à −17, soit sous sa moyenne historique.
La part des PME / TPE ayant recours au crédit pour financer leur exploitation courante recule plus nettement ce trimestre (- 5 points). En dépit d’un contexte de hausse des taux, les conditions d’accès au crédit semblent toutefois s’assouplir et restent favorables à court et moyen terme. A noter que la proportion de dirigeants rencontrant des difficultés de financement de leurs investissements baisse, à 15 % (soit −3 points par rapport au semestre précédent).
Parmi les 64 % des PME / TPE répondantes ayant obtenu un Prêt Garanti par l’État, 57 % ont utilisé plus de la moitié du montant accordé). Si 15 % des PME / TPE ont déjà remboursé leur prêt en intégralité ou comptent le faire d’ici la fin de l’année, plus de 3⁄4 des dirigeant pensent en revanche l’amortir sur plusieurs années. Une minorité (7 %) redoute toutefois de ne pas être en mesure de pouvoir le rembourser.
La transition économique des pays du Golfe ouvre des perspectives de partenariats stratégiques et d'export pour la France. Bpifrance Le Lab décrypte les tenants et les aboutissants de cette tendance pour les entreprises françaises.
L’instabilité politique freine l’investissement : 2 PME sur 3 reportent ou annulent leurs projets face aux incertitudes gouvernementales.
La 81e enquête de conjoncture de Bpifrance Le Lab révèle que les TPE-PME n’échappent pas au contexte économique marqué par une demande affaiblie et un haut degré d’incertitudes.
L’économie française tourne au ralenti cette année, et les Entreprises de Taille Intermédiaire ne font pas exception. Voici 6 enseignements clés de la nouvelle enquête de conjoncture signée Bpifrance Le Lab.
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Les tensions diplomatiques entre le gouvernement américain et l’Amérique latine1, en particulier s’agissant des questions migratoires, sont source d’inquiétude pour la zone et ne font qu’approfondir la méfiance de nombre de leaders latino-américains vis-à-vis de la nouvelle politique américaine. Ces tensions et l’incertitude qu’elles engendrent pourraient pousser certains pays de la région à se tourner vers d’autres partenaires. La Chine pourrait dès lors en profiter pour étendre encore son influence dans la région et l’Union européenne, renforcer les liens commerciaux existants, et accéder à des ressources minières stratégiques.
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