L’étude « Croissance externe : les grandes ambitions des PME » se base sur une enquête menée en 2022 auprès de 668 dirigeants de PME.
81 % des dirigeants de PME ont envisagé un projet d’acquisition d’entreprise au cours des cinq dernières années
Seul 34 % de notre échantillon global est effectivement parvenu à racheter une autre entreprise. 47 % ont dû malgré eux tirer un trait sur leurs velléités d’achat. 19 % des dirigeants se tiennent volontairement éloignés des projets de croissance externe.
83 % des dirigeants estiment qu’à long terme, le rachat d’entreprises participe à la pérennité des PME
Ils sont d’ailleurs 65 % à estimer que l’acquisition d’autres sociétés est indispensable dans la vie d’une PME en développement. Seuls 26 % estiment ces opérations trop risquées.
Un avocat est sollicité dans 87 % des opérations de M&A de PME
Arrivent ensuite les experts-comptables dans 84 % des cas et les partenaires bancaires traditionnels dans 80 % des cas.
1 dirigeant sur 2 (47 %) prévoit de vendre son entreprise dans les 5 prochaines années
En miroir, 72 % des dirigeants de PME affirment avoir l’intention de racheter une entreprise à moyen-terme. On anticipe donc une croissance de ce type d’opérations pour les PME à moyen terme.
Dans 55 % des cas, le montant des opérations de fusion-acquisition des PME ne dépasse pas le million d’euros
Plus les PME comptent de salariés, plus ils ont la possibilité de se lancer dans des opérations dont les montants dépassent le million d’euros.
Dans 84 % des cas, les opérations d'acquisition des PME sont financée partiellement ou complètement par de la dette
Plus précisément, 56 % financent par de la dette uniquement, 20 % la couplent à de l’autofinancement et 8 % à une levée de fonds associés. Seuls 14 % financent leur acquisition par leur seule trésorerie.